Ces temps-ci une lettre traine sur le net, je ne sais pas si elle est réelle ou non, en tout cas ça me fait bien marrer :
Une lettre de réclamation. Vraiment, C’est que du bonheur !!!!
Cher Monsieur Darty,Mon petit lave-vaisselle étant fort malade, j’ai acheté ce jour auprès du Service Après-Vente de votre magasin de Saint Quentin, trois petites rondelles destinées à lui rendre la santé.
Je vous joins la photo de l’une d’entre-elles en attachement pour vous faire rire, car je ne doute pas que vous serez tout esbaudi d’une franche hilarité en apprenant, cher Monsieur Darty, que vous vendez ces rondelles à vos bienheureux clients au prix de 5,88 Euros[1] TTC LE BOUT.
Trois petites rondelles font donc chez vous, cher Monsieur Darty, la somme rondelette de 17,64 Euros[2]. Cher Monsieur Darty, bien que ces rondelles semblent faites d’un vulgaire plastique, je me demande toutefois si elles contiennent quelque matériau révolutionnaire issu, n’en doutons pas, de la recherche spatiale, puisqu’il est patent que vous vendez ce plastique à un prix au kilo qui ferait pâlir d’envie le meilleur des caviars.
Il faut l’oser, et, franchement, je crois qu’à ce point-là, même un garagiste n’oserait pas. Cher Monsieur Darty, je remarque que l’en-tête de votre bon de commande indique en gras « NOTRE OBJECTIF : 100% DE CLIENTS SATISFAITS », aussi, bien que les petites rondelles que vous m’avez vendues soient en excellent état, je m’interroge sur ce sentiment persistant que je ressens de m’être fait violemment dilater le fondement par vos soins experts.
Ceci m’occasionnant quelques douleurs désagréables, je vous serais donc reconnaissant de bien vouloir me faire parvenir par retour un pot d’onguent approprié à calmer la région injustement traumatisée.
Je me permets également de vous prier de bien vouloir transmettre le présent message à la personne la plus appropriée à juger de la satisfaction de votre clientèle et de votre politique tarifaire, au sein du Comité des Sublimes Décideurs de votre Auguste Entreprise.
PS : Ce courrier inondera le net tant que le pot d’onguent ne m’aura pas soulagé